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Un discours lu à la lettre, sans débord de voix mais avec conviction, entrecoupé de nombreux applaudissements des 2.700 militants venus assister à la passation de témoin ce mercredi au Z énith, porte de la Villette à Paris ; quelques allusions personnelles et un hommage appuyé à son prédécesseur – « un sacré bonhomme » – pour finir avant le moment festif : pour sa première apparition comme secrétaire générale de la CFDT , Marylise Léon a surfé sur la dynamique qui porte le premier syndicat de France depuis la réforme des retraites, malgré son échec à en obtenir le retrait.
A ses « chers amis et chers camarades », celle à qui revient la lourde tâche de faire au moins aussi bien que Laurent Berger resté onze ans aux manettes, a commencé par dire sa « fierté » de mener cette aventure collective. « Aujourd’hui, notre première place ouvre une perspective historique », a-t-elle annoncé d’emblée, quand son prédécesseur, plutôt dans la journée, avait exalté une CFDT qui « n’est pas parfaite, mais en forme ».
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