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Lors de la visite de Sbastien Lecornu à Doha et à Bagdad, des discussions ont porté sur le Rafale. Le Qatar veut moderniser sa flotte, tandis que l’Irak marque désormais un vif intérêt pour le chasseur français.
Sitôt la loi de programmation militaire adoptée, le ministre des Armées s’est envolé le 16 juillet pour un voyage de cinq jours au Qatar et en Irak. En marge de l’Ukraine, Sébastien Lecornu voulait faire un point sur la coopération de défense des pays du Moyen-Orient avec la France.
Parmi les points abordés à Doha avec l’émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani: un éventuel nouveau contrat de Rafale. Selon La Tribune, il pourrait s’agir de 24 appareils en plus des 36 commandés en 2015 et déjà livrés par Dassault Aviation. À la suite de ce contrat, une autre option, dévoilée en 2017, portait sur l’achat de 36 appareils supplémentaires.
Moderniser la flotte qatarienne
Rien n’a encore été confirmé par la France, ni par le Qatar, mais des sources proches du dossier évoquent bien la volonté de Doha pour lancer la modernisation de sa flotte d’avions de combat.
« Le Rafale est pour le Qatar un appareil structurant. Le pays veut faire évoluer ses appareils. Il veut suivre la feuille de route du Rafale avec l’évolution vers le standard F4 et à terme F5 », a expliqué cette source.
Priorité au terrestre pour l’Irak
Les Rafale ont aussi fait l’objet de discussions en Irak.
« Bagdad a beaucoup de projets d’équipements pour ses forces aériennes. Le sujet a été évoqué, mais pas comme ‘un sujet immédiat' », précise le ministère des Armées.
En revanche, Bagdad a demandé à la France de former 5 de ses bataillons terrestres. Paris devrait envoyer entre 80 et 100 militaires pour former 2100 soldats irakiens qui qui constituent ces « bataillons du désert ».
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