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Clap de fin pour le « partygate ». C’est une sanction inédite que les députés britanniques sont appelés à voter lundi soir, après la remise du rapport parlementaire accablant pour Boris Johnson. Ce vote doit entériner sa suspension de quatre-vingt-dix jours et le retrait de son passe d’accès au Parlement, recommandés par la commission ayant conclu, jeudi dernier, qu’ il avait délibérément menti au Parlement dans l’affaire des fêtes à Downing Street pendant le Covid. Sa portée reste symbolique, dans la mesure où Boris Johnson a préféré démissionner de son mandat de député avant même que la sanction soit rendue publique.
Ce vote a toutefois valeur de test sur l’ampleur du soutien dont bénéficie encore l’ex-Premier ministre dans l’enceinte de la Chambre des communes. Son entourage a toujours laissé miroiter le scénario d’un possible retour, à l’image de l’Américain Donald Trump, qui souhaite se lancer dans la course à la présidentielle de 2024 malgré les 37 chefs d’accusation dont il fait l’objet.
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