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Malgré la chaleur estivale, un vent glacial est venu des banques centrales ces dernières semaines. Il a gelé les espoirs de ceux qui misaient sur la fin du resserrement généralisé des politiques monétaires. Voire envisageaient un début de baisse des taux directeurs, notamment aux Etats-Unis.
Déjà, le 15 juin, la Banque centrale européenne avait relevé ses taux directeurs à leur plus haut niveau en 22 ans . Ce mouvement était attendu. Mais les commentaires de la présidente de l’institution, Christine Lagarde, beaucoup moins. Cette dernière a jugé quasi certain un nouveau tour de vis en juillet et possible, une poursuite des relèvements de taux après septembre. Un message au ton bien plus dur qu’anticipé.
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