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Autrefois considéré comme un pays strict à l’égard du secteur crypto, le Japon est en train de changer de stratégie.
Le Japon vire de bord depuis quelques temps sur les cryptomonnaies et le web 3. Le pays multiplie les mesures pour encourager les cryptomonnaies.
Fumio Kishida, le Premier ministre japonais a fait quelques sorties favorables sur le web 3 en tant que moteur d’internet du progrès, qui favoriserait à la fois le capitalisme et le changement social. Au delà des mots, il y a aussi des actes. Depuis la fin du mois de juin, le pays veut devenir plus attractif pour les sociétés cryptos. Ces dernières sont exemptes de payer 30 % de taxes sur leurs gains en cryptomonnaies.
Le Japon était considéré comme l’un des pays les plus stricts en terme de régulation des cryptomonnaies. On rappelera les déboires de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies japonais Mt Gox à cet égard. Désormais, les acteurs de l’écosystème cryptos se sentent désormais positivement accueillis au Japon.
Binance revient
Cela contraste avec d’autres pays où la réglementation est au cœur de leur stratégie, que ce soit les Etats-Unis où le gendarme boursier américain, la SEC livre une bataille sans merci aux acteurs du secteur ou encore en Europe où la future règlementation MiCa (Market in Crypto Assets) entrera en vigueur en 2024.
Preuve en est, le géant des cryptomonnaies Binance, qui quitte les pays européens un à un depuis son assignation par la SEC mi-juin, compte revenir au Japon avec une nouvelle plateforme dès le mois d’août. Sa réintégration au marché japonais a été favorisée par l’acquisition de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Sakura Exchange BitCoin (SEBC), il y a quelques mois.
Changpeng Zao (CZ), le patron de Binance, a rappelé qu’il avait lui-même vécu au Japon en tant que développeur, au début de sa carrière.
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