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Nina Caput commence toujours sa journée sur un cheval. Mais pas en région parisienne. Tous les matins elle se rend à Chantilly (Oise), capitale française des courses hippiques. Puis retour à Paris pour se consacrer pleinement à Eqwin, une application qui permet de composer une écurie virtuelle. Cette cavalière professionnelle s’est associée à Anaïs Izaac, fille d’entraîneur de chevaux, et Charley Lauffer, propriétaire, pour lancer fin juin cette start-up à mi-chemin entre un jeu et un réseau social.
Concrètement, elle permet d’acheter des parts d’un cheval virtuel, représenté en 3D, dont la valeur varie en fonction de ses performances dans la vie réelle. Le même principe que pour Sorare, célèbre jeu de « fantasy football » ( qui s’est récemment diversifié dans le basket et baseball ) basé sur des NFT.
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