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Publié le 26 juil. 2023 à 7:00
Imaginez un communiqué de presse qui ressemble à s’y méprendre à un document authentique. En bas du courriel, le nom du responsable des relations presse du groupe et un vrai-faux communiquant au bout de la ligne…
C’est ce qui était arrivé à Vinci, il y a quelques années, avec un communiqué transmis à des agences de presse faisant état d’un détournement massif. Bilan : 7 milliards d’euros de capitalisation partis en fumée en quelques minutes. Et une lourde condamnation pour la prestigieuse agence Bloomberg, qui avait relayé l’information.
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