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La Cnil a annoncé lancer « une procédure de contrôle » vis-à-vis du ministère de l’Intérieur après la publication d’informations concernant l’utilisation non déclarée par la police d’un logiciel de vidéosurveillance
Gérald Darmanin a annoncé ce vendredi 17 novembre avoir demandé un rapport « (lui) confirmant que nous n’utilisons pas la reconnaissance faciale couplée à la vidéoprotection » alors que la Cnil a lancé une procédure vis-à-vis du ministère de l’Intérieur.
La Cnil, autorité indépendante gardienne de la vie privée des Français, a annoncé mercredi lancer « une procédure de contrôle » vis-à-vis du ministère de l’Intérieur, après la publication d’informations concernant l’utilisation non déclarée par la police d’un logiciel de vidéosurveillance.
« J’ai demandé une enquête administrative à ce sujet. Je rendrai publiques les conclusions », a annoncé vendredi le ministre de l’Intérieur chez nos confrères de Ouest-France.
« La Cnil initie une procédure de contrôle vis-à-vis du ministère de l’Intérieur suite à la publication d’une enquête journalistique informant d’une possible utilisation par la police nationale d’un logiciel de vidéosurveillance édité par #BriefCam », a annoncé mercredi la Commission nationale de l’informatique et des libertés sur le réseau social X (ex-Twitter).
Enquête autour d’un logiciel non déclaré
Selon une enquête du site d’investigation Disclose parue mardi, les forces de l’ordre ont acquis en 2015, « en secret », un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam, spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique, et aujourd’hui détenue par le géant japonais Canon.
« Depuis huit ans, le ministère de l’Intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale », écrit Disclose.
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