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Sur BFMTV, Audrey Derveloy, présidente de Sanofi France, confirme que le traitement sera d’abord disponible dans les maternités « pour servir les nourrissons qui en ont d’abord besoin ».
« 60 à 80% d’adhésion » pour une campagne de vaccination non obligatoire, « c’est du jamais vu », se félicite ce mercredi Audrey Derveloy, présidente de Sanofi France à propos du nouveau traitement contre la bronchiolite des nouveau-nés.
« C’est une réelle innovation thérapeutique » souligne la dirigeante qui se félicite que l’Etat ait mis si rapidement en place une campagne vaccinale « dans un délai record, c’est du jamais vu ». D’ailleurs, le premier bébé au monde à avoir eu accès à ce traitement est Français.
Problème, cette adhésion des parents pour le Beyfortus (développé par Sanofi et AstraZeneca) a très vite provoqué des ruptures de stock dans les pharmacies où il est notamment distribué.
Amener le traitement au plus près de ceux qui en ont besoin
Pour Audrey Derveloy, il s’agit avant tout d’un problème de priorité.
« Qui a besoin de ce traitement? Ce sont finalement les nourrissons qui ont le plus petit poids, c’est les nourrissons qui vont arriver dans les maternités, donc l’Etat a pris la décision d’amener ce traitement au plus près de ceux qui en ont besoin ».
En effet, les autorités sanitaires ont annoncé la semaine dernière interrompre la livraison en pharmacie de cet anticorps monoclonal et a réservé le plus faible dosage (50 mg) aux nouveau-nés en maternité avant leur sortie, et aux nourrissons de moins d’un mois hospitalisés.
« Ce sont ces petits bébés qui en ont besoin et je pense que le bon sens c’est d’apporter ces doses au plus près de ceux qui en ont besoin » répète la dirigeante.
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