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Publié le 6 juil. 2023 à 7:40Mis à jour le 6 juil. 2023 à 7:46
Il s’est levé à 5 h 15 du matin pour monter son cheval Folgoët, mais lorsqu’on le rencontre quatre heures plus tard dans la tour AXA de la Défense, il a l’air frais comme un gardon. Thomas Buberl, le patron du géant de l’assurance, est encore galvanisé par les trois jours qu’il vient de passer avec les 300 leaders de son groupe à Samoëns, dans les Alpes.
L’échange avec ses troupes est sans doute la clef du management de cet ovni du capitalisme français, dont il est devenu un pilier malgré ses origines allemandes. « Il faut avoir des équipes dans lesquelles la confiance est totale et qui ont envie de travailler ensemble pour que le directeur général puisse jouer son rôle de chef d’orchestre. On est beaucoup plus dans l’empathie que dans le ‘Je sais tout, je fais tout et je décide tout.’ »
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