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Le chef de l’État a plaidé pour un « statut nouveau » dans « les mois, les trimestres qui viennent ».
Le président Emmanuel Macron a dit vouloir « début 2024 » une « révision de la Constitution » pour la Nouvelle-Calédonie, évoquant notamment le dégel du corps électoral à court terme grâce à un « statut nouveau », ce mercredi lors d’un discours à Nouméa.
« Je vous demande d’engager un travail pour faire advenir une citoyenneté pleine et entière fondée sur un contrat social, faite de devoirs et de droits (…) de l’appartenance au Caillou », a détaillé le chef de l’Etat, expliquant vouloir bâtir ce « statut nouveau » dans « les mois, les trimestres qui viennent » et « dans le consensus ».
« La grandeur d’accepter » les résultats
« La Nouvelle-Calédonie est française parce qu’elle a choisi de rester française », a également déclaré Emmanuel Macron en introduction de son discours, indiquant ne pas « mésestimer les aspirations déçues de ceux qui défendaient un tout autre projet ». Tout en se disant « personnellement blessé » par l’absence mercredi de responsables indépendantistes à la réunion au Haut-Commissariat du territoire.
Le chef de l’Etat a appelé toutes les parties à avoir « la grandeur d’accepter » les résultats des trois référendums, affirmant vouloir être « le président d’un nouveau projet (…) celui de la Nouvelle-Calédonie dans la République ».
Cherchant à rassembler, le locataire de l’Élysée a proposé aux Calédoniens d’emprunter « le chemin du pardon » et celui « de l’avenir ».
« C’est un chemin que nous devons parcourir ensemble (…) Ce n’est pas un chemin de repentance, c’est un chemin de fraternité, de vérité et de courage », a-t-il plaidé, mentionnant « un passé qui ne veut pas passer ».Emmanuel Macron a aussi dit vouloir une « révision de la Constitution » pour « début 2024 ».
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