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La proposition d’interdire ces cigarettes électroniques à usage unique prisées des jeunes sera ensuite étudiée au Sénat pour une mise en œuvre à la rentrée 2024.
Le sort des « puffs » a été décidé. L’Assemblée nationale a voté ce lundi 4 novembre à l’unanimité pour l’interdiction de ces cigarettes électroniques jetables à la nicotine et aux arômes fruités particulièrement prisées des jeunes. Elles sont pointées du doigt pour leurs risques sur la santé et l’environnement.
Le texte doit ensuite prendre la direction du Sénat, pour une interdiction espérée d’ici la fin de l’été 2024.
Programme de lutte contre le tabac
La proposition de loi était portée par une députée écologiste et un député de la majorité et est soutenue par le gouvernement. La Première ministre Élisabeth Borne avait expliqué que les puffs donnaient « des mauvaises habitudes aux jeunes ».
« C’est comme ça qu’ils vont vers le tabagisme », avait-elle dénoncé ce dimanche.
La semaine dernière, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a présenté le programme national de lutte contre le tabac (PNLT) 2023-2027.
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