[ad_1]
Publié le 25 sept. 2023 à 8:46Mis à jour le 25 sept. 2023 à 8:51
Les free-lances, les personnes en contrat précaire, les étudiants… Tous pourront raconter leur parcours du combattant pour se loger au coeur des grandes villes. « Ces personnes invisibles sont pourtant solvables, mais ne rentrent ni dans les critères du logement social, ni dans ceux des propriétaires », glisse Anne-Sophie Thomas, qui estime à 8 millions le nombre de personnes concernées.
La cheffe d’entreprise, qui pitche cette année sur la scène des Journées Impact et Innovation de 50 Partners, veut insuffler une vision sociale dans le monde de l’immobilier, d’ordinaire perçu comme très capitalistique. Elle a travaillé six ans chez Etic, une foncière immobilière issue de l’économie sociale et solidaire. « Quand j’étais en alternance, j’étais la seule à travailler dans ce genre d’entreprise. Tous ne pensaient qu’à la rentabilité des biens », rembobine-t-elle.
[ad_2]
Source link