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A Londres, on sait déjà qui sera gagnant, et sans effort : Paris. « Pour l’industrie du private equity, la France est l’une des principales alternatives au marché britannique », pointe l’avocat fiscaliste Bezhan Salehy du cabinet londonien Macfarlanes. Aux prochaines élections britanniques, les gérants du private equity outre-Manche risquent en effet de voir leur fiche d’imposition flamber : de 28 %, la taxe sur leurs plus-values ( « carried interest ») pourrait passer à 45 %, d’après les plans actuels du Labour.
De quoi laisser espérer de ce côté-ci de la Manche une nouvelle vague « Brexit » après les nombreux transferts de banquiers venus s’installer en France. Paris deviendrait plus compétitif de près de dix points sur le premier « hub » d’Europe !
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