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Publié le 12 janv. 2024 à 6:30Mis à jour le 12 janv. 2024 à 11:47
En matière de TGV du futur, la route du développement des nouveaux modèles peut s’avérer très sinueuse par rapport aux prévisions. En cause : des contenus technologiques et des processus d’homologation de plus en plus complexes. Alstom en fait l’amère expérience. A côté du plongeon inédit du cours de bourse du champion français du rail, lié à ses performances financières cette année, d’autres soucis planent sur les ingénieurs du groupe. En jeu, les capacités à livrer à temps ses trains à grande vitesse de nouvelle génération, son produit phare roulant en France depuis quatre décennies.
Exemple emblématique d’un développement assez ardu, le TGV-M. La SNCF a commandé 115 exemplaires de la cinquième génération du train Alstom depuis juillet 2018, et a commencé à vanter largement ses qualités – confort, économies d’énergie, baisse de 32 % des émissions de CO2, forte modularité – mais commence en interne à ronger son frein. Le transporteur se désespère de recevoir les neuf premiers exemplaires, si tout va bien, en 2025 seulement, pour les aligner sur ses lignes du réseau sud-est.
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