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Pour le patron de Stellantis, la crise en mer Rouge pourrait augmenter les coûts de transports à court terme, mais ne devrait pas peser beaucoup sur l’industrie automobile européenne.
La crise en mer Rouge, avec les attaques de navires commerciaux par les rebelles Houthis, a pour le moment des conséquences économiques limitées, mais avec certaines tensions sur l’approvisionnement de certains composants.
L’industrie automobile est notamment touchée, dans les usines européennes de Tesla, Volvo, Suzuki ou encore Michelin. Mais pas de quoi inquiéter Carlos Tavares.
« Je ne m’attends pas à un énorme impact. Oui le voyage sera plus long si on doit contourner l’Afrique. La crise en mer Rouge pourrait avoir un impact sur le coût car les entreprises de logistique vont dire que nous utilisons les containers plus longtemps que d’habitude donc il pourrait y avoir des discussions sur la manière de compenser ce coût », a analysé le patron de Stellantis lors d’une conférence de presse en visio ce vendredi 19 janvier.
« Pas un problème majeur »
Pour Carlos Tavares, les conséquences devraient donc rester limitées pour l’industrie automobile.
« À ce stade, je ne vois pas d’autres impacts que celui là, certains de nos concurrents ont des difficultés mais ce n’est pas notre cas. Pour le moment tout va bien et je ne pense pas que ce sujet soit un problème majeur pour l’industrie automobile », a conclu le dirigeant.
Environ 12% du commerce maritime mondial passe normalement par le détroit de Bab al-Mandeb, qui contrôle l’accès au sud de la mer Rouge. Mais depuis la mi-novembre, le nombre de conteneurs a chuté de 70%, selon les experts maritimes.
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