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Jusqu’à la mi-juillet, le frisson d’une brève enjambée en Corée du Nord coûtait seulement 160 dollars. Un rendez-vous devant un hôtel chic de Séoul, un bus climatisé, des étapes près de la frontière, des magasins de souvenirs un peu kitsch et, enfin, le passage sous haute surveillance dans la « Joint Security Area » (JSA) offraient aux touristes du monde entier une occasion unique d’approcher le pays le plus énigmatique de la planète.
Mais depuis qu’un militaire américain de 23 ans, qui s’était mêlé à un groupe de voyageurs, s’est enfui, le 18 juillet, vers les bâtiments nord-coréens, toutes les visites dans cette zone ultra-militarisée ont été suspendues. Aucune réouverture du site aux civils n’est pour l’instant évoquée.
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