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Le choix ne doit évidemment rien au hasard. Après l’inauguration du village olympique le 29 février puis celle du Centre olympique aquatique le 4 avril, Emmanuel Macron se rend lundi au Grand Palais. Une visite prestigieuse, à presque cent jours des cérémonies d’ouverture sur la Seine , pour laquelle les ouvriers ont mis les bouchées doubles sur les espaces dédiés aux Jeux : la nef et ses galeries. Le lieu abritera les épreuves d’escrime, de taekwondo, d’escrime fauteuil et de parataekwondo.
« Les Jeux de Paris 2024 portent depuis l’origine la promesse de mêler l’intensité de la plus grande compétition sportive internationale avec un certain style français, mélange d’un patrimoine culturel unique et d’une capacité à transgresser les schémas habituels pour réinventer les jeux et redonner beaucoup de fierté aux Français. Le Grand Palais est le site qui l’incarne le mieux », explique l’entourage du chef de l’Etat, célébrant « un écrin iconique pour les sportifs du monde entier ». Lors des « voeux olympiques et paralympiques » , en janvier, Emmanuel Macron avait fait de 2024 « l’année des fiertés françaises ».
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