[ad_1]
Publié le 2 janv. 2024 à 7:36Mis à jour le 2 janv. 2024 à 7:42
Parmi les centaines de cyberattaques qui ont déferlé en 2023, ce « hack » de juin dernier est passé relativement inaperçu dans le M&A. Lancé par le gang russe Clop, il a pourtant visé l’un des principaux prestataires dans les fusions-acquisitions : la plateforme Datasite, où acquéreurs et vendeurs viennent échanger les documents confidentiels sur des cibles, qui compte comme clients Blackstone, Goldman Sachs, JP Morgan, UBS ou encore EY. Quelque 800 membres ont vu leurs données fuiter de cette « dealroom » virtuelle, employée pour plus de 10.000 transactions dans 180 pays.
« C’est une grave illusion de croire qu’aujourd’hui encore en M&A, un simple nom de code protège quoi que ce soit, alerte Victor Raffour, directeur général adjoint d’Aleph Networks, spécialiste des investigations sur le darkweb, la face clandestine du web. Les flux de données sur le darkweb liés à des transactions se comptent en milliers de gigabits. »
[ad_2]
Source link