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« Il n’y a en soi aucun mal à vendre à découvert une action [parier sur sa chute, NDLR] mais c’est très très difficile d’en faire son gagne-pain sur les marchés de manière durable. Les dirigeants de sociétés frauduleuses sont très doués pour masquer leurs agissements et tromper leurs actionnaires. Ils peuvent ainsi sévir pendant des années, causant de lourdes pertes aux vendeurs à découvert qui tentent d’alerter les marchés », avait expliqué Warren Buffett dans une lettre de 2006 aux actionnaires de Berkshire Hathaway, rappelle le blog de l’ancien gérant de hedge fund Marc Rubinstein.
Il aura fallu deux années de travail et d’enquêtes à Hindenburg Research pour s’attaquer en 2023 à un groupe emblématique de la Bourse de Bombay, Adani. Il sera parvenu à faire chuter ce titre de 70 % avant que l’action amorce un rebond. Il perd encore 38 % cette année. Dans son combat solitaire, le vendeur à découvert avait obtenu le soutien de George Soros, qui avait estimé en février que le président de l’Inde, Modi, « devra répondre aux questions des investisseurs étrangers et du Parlement car il est un proche allié de Gautam Adani et leurs destins sont imbriqués ».
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