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« Les événements du week-end montrent la réalité de l’instabilité politique en Russie, mais aussi à quelle vitesse un convoi peut se déplacer sur son territoire. Il ne faudrait que 8 à 10 heures pour arriver à nos frontières. Cela crée un environnement plus volatile pour la région. Il faut qu’on accroisse notre défense et nos moyens de dissuasion », estimait mardi à Paris Gabrielius Landsbergis, ministre des Affaires étrangères de Lituanie.
Les chefs de la diplomatie des trois pays Baltes ont rencontré Catherine Colonna, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, pour discuter des extraordinaires développements du week-end après la mutinerie avortée du groupe Wagner .
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