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En déplacement en Corse pour évoquer le statut de l’île, le chef de l’État a apporté son « plein soutien » au gouvernement qui a présenté ce mercredi son plan de lutte contre le harcèlement scolaire.
« On va beaucoup plus loin. » Après l’annonce du plan interministériel pour lutter contre le harcèlement scolaire, Emmanuel Macron a « félicité » le gouvernement qui « a raison d’être intraitable ».
« C’est très important. L’école est un sanctuaire. Il faut protéger nos enfants de tous les risques. Je pense que c’est le travail qu’on mène depuis 6 ans on a déjà beaucoup de choses sur les portables et les formations », a répondu le président auprès de BFMTV au début de son déplacement de deux jours en Corse où il pourrait faire des annonces sur une éventuelle autonomie de l’île.
« Mobilisation générale »
Dans l’après-midi, la Première ministre Élisabeth Borne et plusieurs de ses ministres ont promis une « mobilisation générale » et une « lutte implacable » contre ce « phénomène massif » qu’est le harcèlement scolaire.
« La mobilisation doit être générale: chacun a son rôle à jouer. Avec tout mon gouvernement, nous sommes à vos côtés, et nous mènerons une lutte implacable contre le harcèlement », a déclaré Élisabeth Borne, lors de la conférence de presse de présentation.
Cours d’empathie, confiscation du portable dans les cas graves, exclusion des élèves harceleurs sur les réseaux sociaux… plusieurs mesures ont été détaillées par l’exécutif.
« Là on va beaucoup plus loin. Je m’en félicite. Le gouvernement a mon plein soutien », a commenté le chef de l’État depuis Ajaccio.
Récemment pointées du doigt – notamment après la révélation de courriers menaçants du rectorat de Versailles envers la famille d’un enfant harcelé s’étant donné la mort, les institutions en charge de l’Éducation veulent faire front, à commencer par le ministre Gabriel Attal qui a fait du harcèlement scolaire sa « priorité absolue ».
Emmanuel Macron a alors ajouté: « Surtout les familles, les enfants et les adolescents qui subissent le harcèlement doivent savoir qu’ils sont soutenus par toute la République, le corps enseignant et savoir qu’on est à leur côté. »
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