[ad_1]
Publié le 29 déc. 2023 à 16:40Mis à jour le 29 déc. 2023 à 17:55
Coup de froid sur les fusions-acquisitions mondiales. Pour la première fois en dix ans, la barre des 3.000 milliards de dollars a été franchie à la baisse. L’année 2023 s’est avérée pire que celle du choc du Covid, en 2020 : un peu plus de 53.500 deals ont été annoncés pour 2.870 milliards de dollars selon Refinitiv, un chiffre en recul pour le deuxième exercice consécutif (-17 % sur un an), et moitié moins élevé qu’à la sortie de la pandémie, en 2021. Entre faux départs et incertitudes, ces douze derniers mois ont été parmi les plus actifs de l’histoire du M&A dans « l’une des dynamiques de marché les plus difficiles depuis longtemps », résume Jan Weber, responsable des fusions-acquisitions en EMEA chez Morgan Stanley.
Seuls les méga deals des majors pétrolières, Exxon sur Pioneer et de Chevron sur Hess, autour de 60 milliards de dollars chacun, ont fait exception. En Europe, l’offre de KKR sur Telecom Italia, négociée depuis 2021, est l’unique à avoir dépassé les 20 milliards d’euros. Et encore celle-ci, jugée trop basse, est vivement contestée par Vivendi .
[ad_2]
Source link