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Face à une demande forte de trains neufs, le constructeur espagnol annonce qu’il va investir en France près de 25 millions d’euros d’ici 2025.
L’engouement pour le train en Europe en général et en France en particulier n’a jamais été aussi fort. Dans le même temps, de nouveaux acteurs arrivent, profitant de l’ouverture à la concurrence. Résultat, les carnets de commandes en trains neufs des industriels sont pleins pour des années.
L’espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles), présent en France depuis 15 ans, sur le site de Reichshoffen en Alsace (ex-Alstom) et à Bagnères-de-Bigorre en Occitanie annonce monter en puissance dans l’Hexagone à travers des recrutements et des investissements.
Fabricant des nouveaux Intercités vers Clermont-Ferrand
« CAF emploie aujourd’hui près de 1.000 collaborateurs dont 200 en bureau d’études. Pour accompagner le fort développement de ses activités, CAF prévoit de recruter plus de 300 salariés en France et d’investir près de 25 millions d’euros sur la période 2023-2025 », peut-on lire dans un communiqué.
Parmi les projets en cours en France, CAF construit des RER, des trains régionaux (en consortium avec Alstom dont onze rames à la région Nouvelle-Aquitaine, deux à la Région Sud et sept pour Dakar, et des trains Intercités (les futures rames Oxygène prévues sur Paris-Toulouse et Paris-Clermont).
L’industriel a également remporté en 2022 le plus important appel d’offres de tramways en France auprès de la métropole de Montpellier (77 rames pour 223,6 millions d’euros), puis signé 15 tramways à Marseille.
En 2023, CAF revendique un chiffre d’affaires de 3,825 milliards d’euros avec un EBIT à 179 millions d’euros, soit une croissance de 29% par rapport à 2022 et de 43% par rapport à 2019, et un flux de trésorerie libre positif à 55 millions d’euros.
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