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Publié le 28 juil. 2023 à 11:00Mis à jour le 28 juil. 2023 à 13:00
« Il est presque 22 heures. Mes enfants dorment. Mais le risque d’alerte à la roquette subsiste. Je risque de devoir les réveiller en urgence pour courir avec eux nous abriter dans la cage d’escalier. Aujourd’hui, on a déjà dû s’y précipiter deux fois. Tous nos voisins étaient là. » Ce récit en temps réel est celui de Miri, habitante de Givatayim, à côté de Tel Aviv. Elle partage son angoisse sur Facebook.
C’était le 10 mai dernier, début d’un nouvel épisode guerrier entre Israël et la bande de Gaza. Ce dernier va durer cinq jours, durant lesquels le Djihad islamique palestinien (DIP) a tiré 1.200 roquettes vers Israël, tuant deux civils. Selon les autorités israéliennes, près de 20 % des roquettes n’ont pas traversé la frontière et ont atterri dans la bande de Gaza. Le reste est passé côté israélien, mais le système du Dôme de fer de Tsahal a intercepté 91 % d’entre elles.
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