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Le député PS de l’Essonne souhaite une union des partis de gauche pour les élections municipales de 2026 ainsi qu’une candidature unique pour la présidentielle de 2027 afin de « battre Marine Le Pen ».
La gauche à nouveau en rang dispersé? Après une élection présidentielle marquée par de multiples candidatures, des élections législatives sous une seule et même étiquette puis des élections européennes a priori sans liste commune, certains au sein de la Nupes espèrent une (ré)union pour les futures échéances électorales.
Parmi ces derniers figure Jérôme Guedj. Le député socialiste de l’Essonne plaide en effet pour une primaire dès l’année 2025 afin qu’une gauche unie puisse se présenter aux élections municipales de 2026, et à l’élection présidentielle de 2027.
« L’idée, c’est de poser des bases, c’est ce qu’on travaillait dans nos discussions informelles », explique le parlementaire à nos confrères du Parisien, « l’idée de la primaire fait son chemin et je m’en réjouis ».
« Le processus peut naître au lendemain des européennes »
Toujours selon Le Parisien, Jérôme Guedj prépare un fascicule qui exposerait les contours de cette primaire avec l’espoir d’inclure dedans le Parti socialiste, Europe-Écologie Les Verts, le Parti communiste et La France insoumise. Un document distribué l’été prochain, soit après les élections européennes qui se dérouleront le 9 juin en France.
« Le processus peut naître au lendemain des européennes d’une colère du peuple de gauche, en mode ‘Arrêtez vos conneries!' », a estimé Jérôme Guedj, se fixant même un objectif pour cette union: « battre Marine Le Pen ».
Si les écologistes et les insoumis ont choisi leur tête de liste pour les européennes à savoir Marie Toussaint et Manon Aubry, les socialistes ont conclu un accord avec Place publique, le parti de Raphaël Glucksmann, pour constituer une liste commune. L’eurodéputé, déjà tête de liste en 2019, a de nouveau été officiellement désigné tête de liste lors d’un récent vote de militants socialistes.
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