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Invité de France inter, le dirigeant syndical qui s’apprête à quitter son poste a dit avoir envie de « travailler dans la sphère » privée.
C’est un « non » ferme. Invité de France inter ce dimanche, Laurent Berger a confirmé qu’il n’avait « pas envie de politique ». Celui qui quittera ses fonctions de secrétaire général de la CFDT le 21 juin pour laisser la place à Marylise Léon a également précisé qu’il n’avait « pas envie d’aller dans la sphère publique ».
« J’ai plutôt envie d’aller travailler dans la sphère privée. J’ai envie d’avoir un métier qui a un impact, qui a du sens. Il y a quelques perspectives et maintenant il m’appartient de trier un peu tout ça pour faire des choix cet été », a-t-il poursuivi.
« Le syndicalisme est de retour »
À quelques jours de son départ, Laurent Berger a dit ressentir « une grande sérénité pour la CFDT qui est une organisation syndicale qui est en forme, qui a la confiance des salariés (…), qui est passée première organisation syndicale ». Il s’est également félicité « d’avoir fait la démonstration que le syndicalisme est de retour » au cours de ces six derniers mois marqués par le conflit autour de la réforme des retraites.
À ce sujet, le leader syndical a fustigé l’attitude du gouvernement et déploré plus généralement « le mépris des corps intermédiaires, le mépris des demandeurs d’emploi et le mépris des travailleurs modestes » dont il a fait preuve.
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