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En Turquie, les gouverneurs de la Banque centrale se succèdent à un rythme soutenu, depuis que Recep Tayyip Erdogan est arrivé au pouvoir, il y a vingt ans. Mais la démission de Hafize Gaye Erkan, moins de huit mois après sa nomination, a fait l’effet d’un coup de tonnerre.
Première femme à avoir été nommée à la tête de la Banque de Turquie, elle a justifié sa décision sur le réseau social X (ex-Twitter) en expliquant qu’elle était « victime d’une campagne de diffamation » et « qu’elle souhaitait protéger sa famille et notamment son jeune enfant ». Depuis quelques jours, des journaux turcs avaient fait état d’une ingérence du père de la gouverneure dans les affaires de la Banque centrale, sans que ce dernier ait le moindre rôle officiel. Des allégations fermement réfutées par Hafize Gaye Erkan.
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