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Publié le 4 oct. 2023 à 8:30
Son contrat avec la très puissante association automobile allemande, l’ADAC, devait aider la fintech berlinoise Solarisbank à sortir du rouge. Elle peine malheureusement à rassembler les 100 millions d’euros nécessaires pour reprendre les cartes de crédit de l’ADAC et les 500 millions de crédits qui leur sont associés, a révélé le « Financial Times ».
En juin encore, le président de l’automobile club, Mahbod Asgari, saluait un accord avec « le partenaire idéal » pour développer son portefeuille grâce à une « plateforme performante ».
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