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Publié le 11 déc. 2023 à 8:00Mis à jour le 11 déc. 2023 à 20:22
C’était une critique qui revenait, à l’occasion du premier tour de table de Mistral AI (105 millions d’euros), réalisé quelques mois plus tôt. La start-up deviendrait-elle américaine ? « Nous gardons le contrôle du board », précise aux « Echos » Arthur Mensch, cofondateur de Mistral AI, qui reste aussi majoritaire avec ses associés à l’occasion de sa seconde levée de fonds, cette fois-ci de 385 millions d’euros.
Lors du premier tour de Mistral AI, c’est l’américain Lightspeed Venture qui a capté la majeure partie du capital (10 %), suivi d’Hillspire (2 %), le family office d’Eric Schmidt, ex-PDG de Google. Cette fois-ci, c’est Andreessen Horowitz, le fonds de capital-risque californien star de la Silicon Valley, qui dirige la levée. Selon Bloomberg, le fonds aurait injecté, à lui seul, environ 200 millions d’euros, suivi de Lightspeed.
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