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Publié le 10 nov. 2023 à 8:30Mis à jour le 10 nov. 2023 à 8:56
Une efficacité stratégique à démontrer, une rentabilité faible et un dispositif coûteux. Dans son rapport d’évaluation de Definvest, le fonds de 100 millions d’euros dans la défense géré par Bpifrance en coordination avec la Direction générale de l’Armement (DGA), la Cour des comptes n’y va pas par quatre chemins.
Alors que le fonds vient d’entrer au capital de Numalis, une pépite qui sonde les dispositifs d’intelligence artificielle (IA) de systèmes critiques comme dans l’aérospatial, aux côtés de Safran et MBDA, le verdict des sages de la rue Cambon est fermement contesté par Bpifrance.
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