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À gauche comme à droite, de nombreux élus ont dit leur tristesse après l’incendie qui a tué onze personnes ce matin dans un gîte de Wintzenheim (Haut-Rhin).
L’incendie meurtrier dans un gîte pour adultes handicapés suscite l’émotion dans tout le pays et fait réagir jusqu’au sommet de l’État. « Mes pensées vont aux victimes, aux blessés, à leurs proches », a écrit sur Twitter Emmanuel Macron, avant que le lourd bilan de onze morts ne soit connu.
Arrivée sur les lieux du drame, à Wintzenheim en Alsace, la Première ministre Élisabeth Borne, accompagnée de la ministre des Solidarités Aurore Bergé, a exprimé « toute (sa) tristesse et (sa) solidarité » aux « familles durement éprouvées ».
La nouvelle ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, Fadila Khattabi, a elle décrit sur Twitter « un choc et une peine immense ».
Émotion unanime
L’émotion est partagée par toute la classe politique. À gauche, le député LFI Manuel Bompard a apporté « tout (son) soutien aux familles des victimes », tandis que Jérôme Guedj (PS) a fait part de son « immense tristesse » et de son « effroi ».
« Les lieux de vacances adaptées et de répit pour les personnes en situation de handicap et leurs aidants sont indispensables », a ajouté le député de l’Essone sur Twitter.
Sur le même réseau social, le président des Républicains Éric Ciotti a évoqué un bilan « terrifiant » avant d’adresser son « soutien aux familles des victimes plongées dans l’horreur ».
Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a lui regretté une « tragédie » qui « attriste tous les Français ». « Pensées émues pour les victimes ainsi qu’à leurs proches, endeuillés par ce terrible drame », a-t-il ajouté. « Nos pensées accompagnent les familles et leurs proches dans cette éprouvante épreuve », a également tweeté l’ancienne présidente du parti et députée Marine Le Pen, qui se dit « le coeur lourd ».
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