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Publié le 26 nov. 2023 à 17:57Mis à jour le 26 nov. 2023 à 18:33
En 2018, année de bascule, Gérard Collomb se retrouve seul, comme incapable de prendre part à la fête. Un vent d’euphorie souffle encore sur la politique. Un an plus tôt, Emmanuel Macron a déjoué tous les pronostics en gagnant la présidentielle. Depuis, ses équipes réforment tambour battant. C’est le moment de toute-puissance où rien n’est plus désagréable que d’entendre certains dire que cela ne va pas si bien. En réalité, il n’y en a qu’un et on ne l’écoute pas. Il se trouve que c’est lui.
Le premier grand baron socialiste à avoir cru en Emmanuel Macron est aussi le premier déçu. Il sent la distance se créer avec sa ville de Lyon depuis qu’il a accepté de devenir ministre de l’Intérieur, mais il sent aussi que ce nouveau monde n’est pas pour lui. Trop d’arrogance et trop d’« hubris », dira-t-il sur BFM.
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