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Publié le 18 nov. 2023 à 17:53Mis à jour le 18 nov. 2023 à 18:03
« Si la peste faisait son apparition, nous devrions arrêter la guerre » : c’est ainsi que Tzachi Hanegbi, dirigeant du Conseil de la sécurité nationale israélien, a justifié la volte-face du gouvernement. Depuis le 7 octobre et la sanglante infiltration de commandos du Hamas dans le sud d’Israël, Benyamin Netanyahou, le Premier ministre s’est farouchement opposé à la moindre fourniture de carburants à la bande de Gaza sans la libération des 240 otages détenus par les islamistes.
Finalement, le cabinet de sécurité restreint chargé de diriger la guerre a consenti vendredi après moult hésitations à ce que deux camions citerne fournissent 60.000 litres de carburants par jour. Un geste modeste par rapport aux besoins. Cette quantité ne représente que 2 à 4 % de la consommation d’avant-guerre.
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