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Pendant la passation de pouvoir entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal, mardi à Matignon, le nouveau Premier ministre a envoyé des messages positifs aux entreprises.
Lors de sa prise de fonction officielle à Matignon, le mardi 9 janvier, Gabriel Attal a indiqué vouloir « entamer l’acte II de la libération de l’économie française, notamment avec la simplification drastique de la vie de nos entreprises et de nos entrepreneurs ».
Une promesse qui rassure les organisations patronales, alors qu’elles s’apprêtent à rencontrer le Premier ministre dans les prochaines semaines. Toutes ont un a priori positif sur celui qui vient de remplacer Elisabeth Borne à la tête du gouvernement.
Un allié de la politique de l’offre
Le Medef et la CPME ont gardé un bon souvenir de Gabriel Attal lors de son passage au ministère du Budget. A l’époque très attaché à la politique de l’offre, il n’est pas question pour lui d’augmenter les prélèvements des entreprises. Tous comptent donc sur lui pour maintenir ce cap à un moment où cette politique de l’offre est de plus en plus contestée.
Plus récemment, les organisations patronales ont eu à nouveau l’occasion de le cotoyer. C’est le premier ministre de l’Education nationale à s’être rendu au Medef pour plaider en faveur d’un rapprochement entre le milieu scolaire et le monde de l’entreprise. Une démarche très appréciée.
« Des annonces plutôt encourageantes »
Sur BFM Business, François Asselin le patron des TPE et PME, qui va envoyer à Gabriel Attal 80 mesures destinées à « revaloriser le travail et libérer l’économie », salue ses annonces lors de son passage au ministère de l’Éducation nationale.
« Il a fait des annonces plutôt encourageantes sur les stages et la reprise en main de l’autorité dont toute la société a besoin. Mais c’était des annonces. Il n’a pas eu le temps de faire la mise en œuvre. C’est ce qu’on va essayer de faire avec lui maintenant qu’il est Premier ministre », espère-t-il à présent.
« Attaché aux relations avec les partenaires sociaux »
Même chose lorsqu’il s’est rendu à la journée Impact PME ou là encore il a fait forte impression auprès des responsables de la CPME. C’est quelqu’un d' »avenant », de « travailleur » et qui a l’air « attaché aux relations avec les partenaires sociaux » estiment, unanimes, les responsables patronaux.
Pour autant, certains restent prudents. « Attal, c’est Macron à Matignon », nous dit l’un de ces responsables, avant d’ironiser : « je ne l’imagine pas faire barrage de son corps pour stopper Emmanuel Macron s’il cherche à court-circuiter les partenaires sociaux ».
« Ses premières annonces économiques sont plutôt rassurantes », indique François Asselin en se remémorant son passage au ministère de l’Éducation nationale.
« Il a fait des annonces plutôt encourageante sur les stages et la reprise en main de l’autorité dont toute la société a besoin. Mais c’était des annonces. Il n’a pas eu le temps de faire la mise en œuvre. C’est ce qu’on va essayer de faire avec lui maintenant qu’il est Premier ministre. »
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