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Dans quelques jours, Boris Nadejdine, 60 ans, saura s’il peut réaliser son rêve : « provoquer un deuxième tour face à Vladimir Poutine ». D’ici au 10 février, la commission électorale doit confirmer ou rejeter la candidature de ce vieux routier de la politique russe qui, à la présidentielle du 17 mars, veut défier le chef du Kremlin.
En tant que candidat d’un parti, il devait déposer 100.000 signatures de soutien. « Nous en avons collecté 208.000 en Russie. Je n’en attendais pas autant ! Nous en avons sélectionné 105.000. A priori, la commission électorale ne peut pas les rejeter », lance Boris Nadejdine, jovial et confiant autour d’une tasse de thé dans la cuisine de son appartement de la banlieue de Moscou.
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