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Publié le 3 janv. 2024 à 8:01Mis à jour le 3 janv. 2024 à 8:58
Une crise politique aiguë, suivie d’une guerre dans la bande de Gaza qui n’en finit pas : Israël, qui se présente volontiers comme la « start-up nation » par excellence, la Silicon Valley du Moyen-Orient, a encaissé cette année des coups durs à répétition. Presque tous les indicateurs ont viré au rouge. Le volume des fusions, des acquisitions et des introductions en Bourse des entreprises de ce secteur a chuté de 57 % par rapport à 2022 à 7,5 milliards de dollars, le niveau le plus bas depuis une décennie, selon le cabinet de conseil et d’audit PwC.
Plus inquiétant : les investissements étrangers, essentiellement américains, qui irriguent à hauteur de 80 % les start-up, ont reculé de près de moitié, à 6,7 milliards de dollars depuis le début de l’année. Cette baisse affecte en particulier les start-up qui en sont à un stade précoce de leur développement.
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