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Le groupe minier français présent dans le pays africain est le premier à réagir suite au coup d’Etat qui a eu lieu ce mercredi.
Eramet indique ce mercredi que ses activités au Gabon sont « mises à l’arrêt ».
« Suite aux derniers événements en cours », le groupe a « mis à l’arrêt » ses activités au Gabon et « suit » la situation pour « protéger la sécurité de (son) personnel et l’intégrité de (ses) installations », a-t-il précisé. Eramet emploie quelque 8.000 personnes dans le pays, majoritairement gabonaises
Des militaires ont annoncé mercredi mettre « fin au régime en place » au Gabon, un coup d’Etat visant le président sortant Ali Bongo, au pouvoir depuis 14 ans et dont la réélection venait d’être annoncée dans la nuit.
Le groupe est présent au Gabon à travers deux filiales. L’une, la compagnie Comilog (la compagnie minière de l’Ogooué) est spécialisée dans l’extraction de manganèse, minerai dont Eramet est le deuxième producteur mondial à haute teneur.
Setrag (la Société d’exploitation du transgabonais), la deuxième filiale du groupe français, assure l’exploitation ferroviaire de la ligne qui relie la côte atlantique au sud-est du pays riche en minerais à travers la forêt équatoriale du Gabon.
La compagnie assure le transport des minerais et des passagers sur 650km.
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