[ad_1]
Publié le 4 nov. 2023 à 16:48Mis à jour le 4 nov. 2023 à 16:50
Des rues vides, des écoles fermées… L’angoisse était palpable vendredi à Beyrouth avant le discours très attendu de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah. « Certains de mes amis sont partis à Triploli au nord », témoigne un habitant de la capitale libanaise. La crainte étant que le chef du puissant parti milice libanais, affilié à l’Iran, n’annonce son entrée en guerre contre Israël au Sud Liban.
Il n’en a rien été . Devant des milliers de partisans dans la banlieue sud de Beyrouth, foule mixte à la manière du parti chiite, les femmes d’un côté et les hommes de l’autre, Nasrallah a loué le combat des 57 « martyres » déjà tombés au Sud Liban dans des accrochages avec l’armée israélienne.
[ad_2]
Source link