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Près de deux ans après le déclenchement de l’offensive russe en Ukraine, plusieurs banques européennes peinent à s’extraire de Russie. L’autrichien Raiffeisen, l ‘italien Unicredit ou le britannique HSBC n’ont pas coupé totalement les ponts, voire y génèrent des profits. Et ce, alors que les Etats-Unis font monter la pression avec de nouvelles sanctions visant les banques étrangères.
Le poids lourd de la banque italienne dirigé par Andrea Orcel a dégagé en 2023 un bénéfice de 665 millions d’euros en Russie, au plus haut en dix ans, en raison de moindres provisions. Un résultat obtenu en dépit d’une réduction de voilure : ses volumes de prêts y ont chuté de moitié tandis que ses actifs baissaient (-11,5 %) à 14,3 milliards. « Notre stratégie en Russie reste inchangée, a réagi le dirigeant auprès de CNBC. Nous continuons de réduire nos activités. Si nous trouvions le bon acheteur nous vendrions, mais pour l’instant ce n’est pas le cas ».
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