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Protégés par leur taille, leur structure financière souvent robuste et leur ouverture à l’international, les géants du CAC 40 commencent néanmoins à subir les conséquences du ralentissement économique mondial. En tout, les stars de la cote (au nombre de 38, hors Pernod Ricard et Alstom, dont la clôture est décalée) ont engrangé environ 81 milliards d’euros de bénéfices cumulés au premier semestre, selon les données rassemblées par « Les Echos ».
S’il s’agit de profits record, leur dynamique s’essouffle sérieusement. A périmètre comparable, ils n’ont crû « que » de 7 % par rapport aux six premiers mois de 2022. Une décélération marquée. Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, marqué par les restrictions liées au Covid). Toute la question est de savoir s’il s’agit d’une simple normalisation après une période exceptionnelle ou des signes avant-coureurs d’un retournement.
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