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(BFM Bourse) – Le CAC 40 avance à la mi-séance de ce vendredi, toujours emballé par les récents chiffres sur l’inflation. Le président de la Réserve fédérale américaine s’exprimera à 17h.
Le CAC 40 poursuit sur sa lancée. L’indice parisien avance de 0,43% à la mi-séance de ce vendredi à 7.342,41 points. Pour l’heure, le CAC 40 gagne 0,7% sur la semaine.
Les investisseurs sont rassurés par l’évolution de l’inflation aux Etats-Unis comme en Europe, après les chiffres de l’inflation en zone euro et l’indice PCE, jauge préférée de la Réserve fédérale américaine (Fed) pour mesurer la hausse des prix, publiés jeudi.
« Les marchés célèbrent le ralentissement plus fort qu’attendu de l’inflation en zone euro et aux Etats-Unis depuis la fin de l’été, alors que dans le même temps la croissance économique ne s’effondre pas. Les marchés actions ont rebondi de près de 10% en novembre et les taux longs sont revenus à leur niveau de mi-septembre », souligne Xavier Chapard de LBPAM.
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Worldline porté par des informations de presse
Les investisseurs surveilleront néanmoins l’intervention du président de la Fed, Jerome Powell, prévue à 17h.
Du côté des actions, Société Générale recule de 0,9%, pénalisé par un abaissement de recommandations de la part de Goldman Sachs à « vendre ».
Dans la même logique, LVMH perd 0,7% alors que Morgan Stanley est passée de « surpondérer » à « pondération en ligne » sur le titre.
A contrario Worldline avance de 6%, bénéficiant des informations de Bloomberg comme quoi Crédit Agricole SA chercherait à prendre une participation pour soutenir le groupe de paiements qui constitue son partenaire commercial. Contactées par l’agence, les deux sociétés n’ont pas fait de commentaire.
Sur les autres marchés, l’euro est stable face au dollar. Les contrats pétroliers sont atones après avoir reculé la veille à la suite de l’annonce des coupes de production de l’Opep+. Le contrat de février sur le Brent de mer du Nord et celui de janvier sur le WTI coté à New York sont tous les deux quasi stables.
Les annonces de baisse de production de la part de l’Opep+ « manquent de crédibilité car elles ont été annoncées après des négociations difficiles et concernent des baisses volontaires de chaque pays plutôt qu’un accord global », explique Xavier Chapard.
Julien Marion – ©2023 BFM Bourse
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