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(BFM Bourse) – La Bourse de Paris débute timidement la semaine à l’orée d’une semaine jalonnée par de grands rendez-vous de part et d’autre de l’Atlantique. Le CAC 40 grappille 0,3% lundi soir.
La Bourse de Paris marche sur des œufs pour commencer la semaine contrairement au Nikkei 225, indice de référence de la place tokyoïte, qui a dépassé les 40.000 points pour la première fois de son histoire ce lundi.
Le CAC 40 termine cette journée en hausse de 0,28% à 7.956,41 points lundi soir. Vendredi, il avait grappillé 0,09%.
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Faute d’actualité majeure à se mettre sous la dent, les investisseurs parisiens ont donc rongé leur frein dans l’attente des rendez-vous majeurs ces prochains jours. Les opérateurs prendront connaissance du rapport sur l’emploi américain vendredi et seront attentifs à la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi. Le président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Jerome Powell, sera par ailleurs auditionné par les deux chambres du Congrès cette semaine.
Il s’agit donc d’une semaine « test au cours de laquelle nous verrons si la BCE et la Fed sont ‘à l’aise’ avec la lecture que font les marchés de la trajectoire de l’inflation et des futures baisses de taux », note Alexandre Baradez, responsable de l’analyse marchés chez IG France.
OVHcloud soutenu par Stifel
Du côté des publications, la saison des résultats prendra fin cette semaine sur le CAC 40 avec Thales, Teleperformance et Vivendi.
En hausse de 7% à la mi-séance, OVHcloud a limité ses gains à 1,5% ce lundi soir alors que Stifel a revu son opinion sur le dossier, passant de « conserver » à « acheter », encouragé par la trajectoire d’amélioration des marges du groupe.
La spécialiste du matériel informatique grand public LDLC a cédé 2,4% après avoir annoncé vendredi soir avoir été victime d’une attaque informatique.
Sur les autres marchés, l’euro gagne 0,16% face au dollar à 1,0858 dollar. Le pétrole recule alors que des membres de l’Opep+, c’est-à-dire l’Organisation des pays exportateurs de pétrole à laquelle se greffent des pays alliés comme la Russie, ont décidé de prolonger leurs coupes de productions ou d’exportations pour une durée de trois mois. Le contrat de mai sur le Brent de mer du Nord plie de 0,4% à 83,20 dollars le baril, tandis que celui d’avril sur le WTI coté à New York redonne 0,8% à 79,31 dollars le baril.
Sabrina Sadgui – ©2024 BFM Bourse
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