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Publié le 31 oct. 2023 à 8:00Mis à jour le 31 oct. 2023 à 8:02
Il y a une vie après la mort… dans le monde numérique. Mais que deviennent les messageries, réseaux sociaux et autres abonnements en ligne des défunts ? Cette question a taraudé Alex Rensonnet lors du décès de son grand-père, dont la page Facebook a été transformée en un espace virtuel de recueillement. « C’est là qu’est née l’idée d’aider les familles dans leur démarche de clôture des comptes d’un proche disparu », se souvient Alex Rensonnet, désormais directeur général de Repos digital.
Cette start-up de la deathtech, passée par les incubateurs de Station F, Matrice et The Schoolab, commercialise ses services depuis 2022 auprès de réseaux de pompes funèbres, tels que Funéplus et Pompes funèbres de France, mais aussi de groupes de protection sociale, parmi lesquels Klesia et Malakoff Humanis. De quoi employer, entre Paris et Bordeaux, 7 personnes, pour 100.000 euros de chiffres d’affaires en 2023.
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