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Alors que le sujet sensible des punaises de lit s’est invité ce mardi à l’Assemblée nationale, le porte-parole du gouvernement a annoncé qu’une réunion interministérielle se tiendrait vendredi à Matignon.
Une réunion « pour apporter rapidement des réponses aux Français ». Ce vendredi, les différents directeurs de cabinet des ministères concernés par le sujet sensible des punaises de lit se réuniront à Matignon, a annoncé ce mardi soir sur RTL le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. La Première ministre ne devrait pas être présente.
« Est-ce qu’il y a une recrudescence en France? Pour cela, il faut apporter des réponses et consulter toutes les personnes qui interviennent au domicile des Français. On veut aussi protéger les Français face aux risques d’arnaques. Il y a aussi la question de la responsabilité, pour savoir qui paye », a détaillé l’ancien ministre de la Santé.
De son côté, le ministre des Transports Clément Beaune réunira mercredi les principaux opérateurs de transports et les associations d’usagers. Ces dernières semaines, ces insectes ont été signalés dans des trains et dans le métro parisien.
Le gouvernement « déterminé à agir »
Interpellée ce mardi par Mathilde Panot, la présidente des députés insoumis, la Première ministre s’est montrée volontariste, sans cependant faire d’annonces précises.
« Nous sommes déterminés à agir et à amplifier notre action et une réunion avec les ministères concernés aura lieu dans les prochains jours », a expliqué la cheffe du gouvernement ce mercredi après-midi.
« C’est une angoisse pour nos concitoyens », a d’ailleurs reconnu Élisabeth Borne, évoquant « un véritable calvaire pour ceux qui sont touchés ».
Le ministre de la Santé a lui considéré qu’il n’y avait « pas de panique générale » à avoir face aux punaises de lit. « Je pense que ce n’est pas un motif à une panique générale », a assuré le ministre interrogé sur France Inter, reconnaissant toutefois que « quand vous avez des punaises de lit, c’est l’enfer ».
« Ce qui me préoccupe, c’est que les gens ne se fassent pas gruger avec des boîtes qui leur font payer 2000 ou 3000 euros » pour les débarrasser de ces punaises, a ajouté Aurélien Rousseau, qui a dénoncé des « abus ».
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