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Publié le 4 sept. 2023 à 7:01Mis à jour le 4 sept. 2023 à 9:48
L’accalmie observée sur les cours du blé ces derniers mois paraît de plus en plus fragile. Juste après l’invasion de l’Ukraine, les cours avaient flambé à près de 450 euros la tonne. Depuis, la pression sur les céréales est redescendue d’un cran. A Paris, la tonne de blé tendre est revenue à environ 225 euros, des niveaux observés en 2021 avant la guerre. Même tendance à Chicago, où le boisseau de blé (environ 27 kg) a perdu près de 28 % depuis le début de l’année, à 5,73 dollars.
Cette détente s’explique d’abord par d’amples moissons dans l’hémisphère nord , notamment en Russie. « La Russie est en passe d’avoir la deuxième meilleure récolte de tous les temps » après celle, record, de l’an dernier, relève Sébastien Poncelet, expert des marchés de grains chez Agritel.
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