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Il est rare que le marché américain soit à la peine. Consacré comme le plus gros et le plus rentable par l’industrie mondiale de l’alcool et du vin, il a pourtant marqué le pas au cours de l’exercice 2022-2023. « Tout le monde a souffert, nos concurrents aussi, d’une baisse de régime américaine après la phase de surconsommation post-Covid », dit-on chez Pernod Ricard, où l’on met en avant des phénomènes de déstockage de la part des grossistes cruciaux sur ce marché.
L es résultats annuels du géant français du secteur sont de toutes les façons solides. Le groupe se flatte d’avoir « gagné des parts de marché dans la plupart des pays » l’an dernier. Le groupe a vu son chiffre d’affaires progresser de 10 % à 12,1 milliards d’euros. Il a été tiré à hauteur de 8 % par un effet prix, 1 % par les volumes et 1 % par l’évolution de son mix produit. La hausse des prix a permis de compenser les effets de l’inflation sans faire fuir les clients. Du coup, le résultat opérationnel courant a progressé de 11 % à 3,3 milliards d’euros.
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