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Stellantis : Les cinq atouts de Stellantis pour braver la tempête dans l’électrique, selon Bank of America

juillet 15, 2023
in Bourse
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(BFM Bourse) – Le bureau d’études Bank of America est passé à l’achat cette semaine sur le groupe né de la fusion entre Fiat Chrysler et PSA. La banque considère notamment que le constructeur est taillé pour résister à la difficile transition électrique qui risque de pénaliser les résultats des constructeurs automobiles.

La fête risque de s’approcher de la fin pour les constructeurs automobiles. Grâce à la forte demande mais aussi à des difficultés du côté de l’offre, avec la pénurie de semi-conducteurs, les grandes sociétés du secteur ont pu augmenter leurs marges au cours des deux dernières années. Elles ont profité d’un contexte de prix favorable, illustrant le « pricing power » (le pouvoir de fixation des prix) de ces entreprises.

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Stellantis a constitué une parfaite illustration, avec une marge opérationnelle courante de 13% en 2022, bien plus proche des constructeurs premium que des entreprises « mass market », comme Volkswagen ou Renault. Une rentabilité qui s’explique aussi par l’efficacité et la discipline de fer de la société sur ses coûts.

Mais une normalisation des résultats s’annonce, et l’environnement de prix risque d’être moins favorable sur la deuxième partie de 2023.

Plus largement, les constructeurs automobiles se retrouvent à devoir faire face à plusieurs feux, ce que Bank of America qualifie de « parfaite tempête ». Les groupes automobiles doivent contenir les coûts de l’électrification de leurs gammes, assurer leurs approvisionnements en batteries électriques, élaborer une stratégie dans les logiciels embarqués et respecter les obligations du plan « Fit for 55 » de l’Union européenne, qui vise à réduire de 55% au moins les émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030 par rapport à 1990, et qui interdit en principe la vente de nouvelles voitures et camionnettes non électriques en 2035.

A ceci se superpose une concurrence intense dans l’électrique de la part des constructeurs chinois en Chine, et qui se profile férocement en Europe. BYD prévoit, par exemple, de vendre pas moins de 800.000 véhicules électriques d’ici à 2030 sur le Vieux Continent. Sans parler de Tesla qui n’hésite pas à couper ses prix pour soigner ses volumes.

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L’IRA américain comme soutien

Bank of America estime néanmoins que Stellantis dispose d’atouts pour résister à cette « tempête » et jugeait mercredi que le marché exprimait des craintes exagérées sur ce point, dans la mesure ou ses multiples de valorisation se sont déjà dépréciés de 40% par rapport à leur niveaux de la période 2016-2019 (la banque calculant une moyenne sur la base des valorisations à l’époque de PSA et Fiat Chrysler qui ont fusionné début 2021 pour donner naissance à Stellantis). En conséquence, elle a relevé mercredi sa recommandation à l’achat sur la valeur (contre « neutre » précédemment) et ajusté à la hausse son objectif de cours à 20 euros contre 19 euros précédemment.

La banque liste cinq avantages dont dispose Stellantis dans ce contexte peu évident. Tout d’abord, l’Amérique du Nord reste le principal moteur de bénéfices de la société, puisque cette région représente plus de 55% du résultat opérationnel, selon Bank of America.

Or, la transition électrique aux Etats-Unis est soutenue par l’IRA (« inflation reduction act »), un paquet de mesures américaines qui protègent l’industrie locale tout en finançant et/ou en soutenant la transition énergétique. Dans l’automobile, un crédit d’impôt allant jusqu’à 7.500 dollars est accordé aux consommateurs pour l’achat de véhicules électriques neufs. Ce sous certaines conditions d’approvisionnements locaux en matière de composants de batteries et de matériaux du véhicule en question, qui doivent provenir en partie de la région « Mexique-Etats-Unis-Canada ».

Un certain pourcentage est ainsi exigé puis monté progressivement dans le temps, entre 2023 et 2029. Pour Bank of America, cette mesure « dérisque substantiellement » la transition vers le véhicule électrique en Amérique du Nord.

Deuxième point: les synergies dégagées par la fusion entre Fiat Chrysler et PSA, ce qui fait l’essence même de la naissance de Stellantis. L’an passé, le constructeur automobile a réalisé 7,1 milliards d’euros de synergies au niveau du cash net et donc de la trésorerie, avec deux ans d’avance sur l’objectif de 5 milliards d’euros.

Mais Bank of America souligne que ce montant ne s’est pas encore traduit totalement (seulement 50% environ selon le bureau d’études) en matière de compte de résultats. Entre 1 milliard et 1,5 milliard d’euros de synergies annuels devraient ainsi, selon ses prévisions, gonfler ses résultats sur la période 2023-2026.

« Nous ne serions pas surpris qu’il en soit réalisées davantage », prévient de plus la banque, qui souligne que le gros des convergences sur les plateformes (la structure basse d’un véhicule, notamment son châssis, et qui est conçue sur des outils industriels permettant de produire des bases communes pour différents modèles) n’arriveront que cette année, avec le Jeep Avenger et la Fiat 600 produite sur la plateforme eCMP2, qui repose sur le savoir-faire hérité de PSA. Ce qui dégagera évidemment des économies.

La Chine de faiblesse à force

Troisièmement, Stellantis a l’avantage de posséder une présence réduite en Chine, avec moins de 3% de ses revenus tirés de la deuxième économie mondiale, ce qui le rend moins sensible que plusieurs de ses concurrents à ce marché où la bataille s’avère ardue dans l’électrique.

L’an passé le groupe a réduit son empreinte industrielle dans le pays, avec une stratégie « asset light », mettant par ailleurs fin à sa coentreprise avec le constructeur local Changsha et à la production locale de Jeep. La Chine constituait déjà depuis longtemps le grand talon d’Achille de PSA et Fiat Chrysler, avec des volumes presque anodins à l’échelle de ces constructeurs.

Cette faiblesse pourrait donc se muer en force à l’heure où la concurrence chinoise est devenue très puissante et que le marché se renationalise à la vitesse grand V. C’était d’ailleurs une des raisons qui avaient amené, en mars, Royal Bank of Canada à relever son conseil à « surperformance » sur le titre. « Stellantis n’est pas vraiment présente en Chine, où la concurrence des constructeurs nationaux semble s’intensifier. GM y est notamment très présent », écrivait alors la banque canadienne.

Quatrième atout: la stratégie de Stellantis dans le véhicule électrique, que ce soit en matière de plateformes comme de batteries, qui permet « une flexibilité maximale », apprécie Bank of America.

L’établissement souligne, par exemple, que la prochaine génération de plateformes du groupe a été conçue pour être optimisée pour les véhicules électriques (BEV) et accueillir aussi les voitures à moteur à combustion interne (ICE), principalement les hybrides légers.

« Cette décision stratégique a été prise pour permettre la flexibilité de la demande en véhicules électriques et pour offrir des options plus abordables (sur les voitures à moteurs thermiques) jusqu’à ce que la parité BEV/ICE soit atteinte », poursuit-elle. « Si l’Europe ne parvient pas à mettre en place un équivalent à l’IRA ou si la transition vers les véhicules électriques ralentit pour d’autres raisons, cette décision pourrait s’avérer judicieuse », avance-t-elle.

Dernier point et non des moindres: « la direction du groupe est attentive à ces risques (liés à la transition électrique, NDLR) et se concentre clairement sur les réductions de coûts qui pourraient s’avérer décisives », note la banque américaine.

Outre Bank of America et Royal Bank of Canada, Stifel a également une opinion positive sur le titre. La banque expliquait en mai que l’action reste une valeur sûre avec « une qualité d’exécution supérieure » qui devra bien finir par se refléter dans ses multiples de valorisation. Plus largement selon le consensus compilé par investing.com, sur les 22 analystes suivant la valeur, 19 sont à l’achat ou équivalent, et 3 à « neutre ».

Stellantis publiera ses résultats semestriels le 26 juillet. Bank of America attend des revenus de 93,2 milliards d’euros, en hausse de près de 6% sur un an, et une marge opérationnelle courante de 13,7%, supérieure à la prévision du consensus.

Julien Marion – ©2023 BFM Bourse

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