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Preligens, la pépite de l’IA née sous le parrainage de la Direction des renseignements militaires, restera-t-elle sous pavillon français ? Face au candidat déclaré, le français Safran, deux industriels européens viennent de s’inviter dans la course au rachat du spécialiste de géo-intelligence pour les services de renseignement et les forces armées, qui sert l’Otan et l’US Army, selon nos informations.
Invité surprise, le suédois Hexagon AB a déposé selon des sources une offre indicative de reprise en fin de semaine dernière, date de remise fixée par les actionnaires de Preligens qui espèrent valoriser Preligens autour de 350 millions – les fondateurs Renaud Allioux et Arnaud Guérin, 360 Capital Partners, Tikehau, Definvest, Octave Klaba.
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