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Kaja Kallas : « Si la Russie pense que nous sommes faibles, elle n’hésitera pas à tester l’Otan »

janvier 11, 2024
in Financier
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Publié le 11 janv. 2024 à 15:24

Vous allez célébrer les vingt ans de l’adhésion de l’Estonie à l’Union européenne et à l’Otan en 2024 ; comment voyez-vous la récente décision des 27 de lancer le processus d’adhésion de l’Ukraine à l’UE ?

C’est une victoire morale pour l’Europe. Parvenir à cette décision commune n’a été facile pour aucun d’entre nous. Poutine doit être très déçu de ne pas réussir à briser notre unité sur ce point. En ce qui concerne l’élargissement, nous y sommes très favorables en tant qu’Estoniens car nous sommes un exemple vivant de cette convergence en Europe.

En 2000, notre PIB par tête d’habitant s’élevait à 36 % du PIB moyen européen. Quand nous avons rejoint l’UE, il était à 48 % et aujourd’hui il est à 89 % du PIB moyen, ce qui montre bien que cette convergence marche.

Dans le cas de l’Ukraine, cela ne se fera pas du jour au lendemain. Ce sera un processus long. Cela nous a pris sept ans pour négocier notre entrée. Il y a encore des réformes difficiles que l’Ukraine devra entreprendre en vue de son adhésion.

 Craignez-vous que Viktor Orban puisse encore freiner ce processus ?

Aussi longtemps que Viktor s’épanche négativement auprès des médias mais agit dans le bon sens, tout va bien. Au dernier conseil européen, il a même été celui qui a trouvé la solution pour que nous puissions parvenir à un accord. Nous verrons bien. Bien sûr, cela devient plus difficile avec la Hongrie. Mais jusqu’ici nous avons réussi à obtenir un accord et on ne peut que s’en féliciter.

Le processus d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan sera-t-il nécessairement plus long ?

Les « zones grises » sont sources de conflits. La seule garantie de sécurité que cela marche est bien de faire partie de l’Otan. Mon propre pays en est l’exemple type. La Russie ne nous a pas attaqués parce que nous faisons partie de l’Otan. Car l’article 5 stipule que toute attaque envers un Etat membre est une attaque contre l’ensemble. Si nous voulons atteindre la paix en Europe à long terme, l’Ukraine doit résolument faire partie de l’Otan. La question est de savoir quand.

Bien sûr, aucun pays de l’Otan ne veut entrer aujourd’hui en guerre. Nous voulons aider militairement l’Ukraine, mais personne ne veut y envoyer des troupes. Donc il faut clairement que la guerre soit d’abord finie en Ukraine avant d’envisager son adhésion à l’Otan.

Partagez-vous les craintes du Président Zelensky sur le risque de voir l’Occident baisser la garde en Ukraine au vu de la crise au Moyen-Orient ?

Pas entièrement. Nous en avons parlé au niveau européen. Il est clair qu’une nouvelle crise se profile. Mais nous avons démontré que nous sommes capables de gérer plusieurs conflits en même temps. Le combat contre l’agresseur russe est aussi important que le combat contre le terrorisme. C’est aussi dangereux pour la sécurité du monde et pas seulement pour l’Europe.

L’expérience de la seconde guerre mondiale montre clairement que pactiser avec un dictateur conduit à de nouvelles guerres. Si un Etat agresseur peut s’en sortir avec plus de territoires, d’autres agresseurs en prendront soigneusement note et seront encouragés.

L’Otan peut-il et doit-il survivre à la possible réélection de Donald Trump en 2024 ?

Nous devons travailler avec les leaders que choisissent les peuples de nos alliés démocratiques. C’est aux peuples de décider quels seront leurs prochains Présidents. Cela dit, les Etats-Unis ont adopté des sauvegardes additionnelles afin qu’un Président ne puisse pas décider tout seul de sortir de l’Otan, comme de toute organisation internationale.

Ce que nous devons démontrer en Europe, dès aujourd’hui, c’est que nous remplissons notre part en matière de financement de notre défense en garantissant cette promesse d’un niveau minimum de 2 % du PIB consacrés par chacun des pays membres au budget de la défense.

Êtes-vous encore intéressée par le poste de Secrétaire général de l’Otan qui doit devenir vacant en juillet 2024 ?

Il est hautement improbable que ce poste me soit proposé. Lorsque les médias m’ont demandé si j’aimerais être considérée comme une candidate possible, j’ai dit oui. Car nous avons été pendant vingt ans membre de l’Otan, comme pour l’Union européenne. Mais les « top jobs » (NDLR : les postes principaux), c’est toujours réservé à un petit nombre de pays.

Nous estimons que nous avons pleinement joué notre rôle en tant qu’allié de l’Otan, nous avons investi plus de 2 % du PIB dans la défense commune pendant plus de dix ans. Nous sommes aujourd’hui à plus de 3 %. C’est pourquoi, sur la base du mérite, je pense que l’Estonie devrait être considérée comme un candidat sérieux et un membre à part entière.

Êtes-vous prête à vous rallier à la candidature du Néerlandais Mark Rutte pour la direction de l’Otan ?

Nous n’avons pas encore décidé. Notre crainte est qu’il a été Premier ministre pendant longtemps et les Pays-Bas n’ont pas respecté cet engagement des 2 % du PIB dans la défense. Or, c’est important de prendre la défense au sérieux. Si vous n’agissez pas conformément à vos paroles, cela ne joue pas en votre faveur.

Nous avons appris de l’histoire que la faiblesse provoque les agresseurs. S’ils voient que nous sommes faibles et que nous ne respectons pas nos propres engagements, cela peut les conduire à faire de mauvais calculs. J’en ai parlé à Mark Rutte. Et nous verrons. Il semble qu’il soit soutenu par la majorité. Mais il y a déjà eu trois secrétaires généraux provenant des Pays-Bas.

Nous ne devrions pas sous-estimer notre propre pouvoir en tant qu’Occident.

L’histoire montre que lorsque Margaret Thatcher était au pouvoir au Royaume-Uni, les Pays-Bas étaient complètement opposés à l’arme nucléaire. Il est paradoxal que ce pays ait vu la défense différemment des pays qui mouillent leur chemise.

Pensez-vous que l’on s’achemine vers une guerre d’usure entre la Russie et l’Ukraine ?

C’est déjà le cas. Les Russes espèrent que nous allons nous fatiguer les premiers et que le temps est de leur côté. Ils sont très forts en matière de propagande. En réalité, c’est un leurre. L’économie russe est en pleine tourmente. La Chine ne va pas leur prêter de l’argent.

Après les élections, Poutine va devoir prendre nécessairement des mesures très impopulaires et augmenter les impôts. Il y a des fissures au sein de l’armée. Ils se sont débarrassés de Prigojine, mais cela ne veut pas dire que l’armée est satisfaite. Ils voient que leur équipement n’est pas à la hauteur des Ukrainiens.

Nous ne devrions pas sous-estimer notre propre pouvoir en tant qu’Occident. Nous sommes forts en termes de dépenses et d’aides militaires. Je suis optimiste. Mais pour être réaliste, je ne pense pas que cette guerre va se terminer en 2024. La Russie a déjà perdu, car elle n’a pas atteint ses objectifs jusqu’ici. Mais tout dépend de notre soutien militaire et financier à l’Ukraine qui se bat pour l’Europe.

Faut-il réévaluer le seuil minimum de 2 % du PIB dans la défense recommandé par l’Otan ?

Oui. En 1988, tous les alliés de l’Otan dépensaient plus de 2 % de leur PIB dans la défense, certains plus de 6 % durant la Guerre Froide. Car la menace était réelle. Pourquoi la menace n’est-elle pas aussi sérieuse alors que nous avons une guerre conventionnelle aux frontières de l’Europe aujourd’hui ?

En 1930, notre investissement dans la défense était très bas, car c’était une époque de paix. Mais il fallait préparer l’avenir. En 1938, quand l’Estonie a essayé d’augmenter ses dépenses de défense, c’était déjà trop tard et nous avons perdu notre indépendance. Ce sont des décisions qu’il faut prendre en amont pour prévenir des atrocités et des guerres futures. Si la Russie pense que nous sommes faibles parce que nous n’en avons pas fait assez, elle n’hésitera pas à tester l’Otan.

La décision de Charles Michel d’anticiper son départ de la présidence du Conseil européen a semé le trouble. Qu’en pensez-vous ?

C’est discutable. Il montre clairement qu’il est intéressé lui-même par l’un de ces « top jobs » (principaux postes) au niveau européen. Il envoie ce signal. C’est difficile de jouer dans ce cas un rôle de négociateur impartial . Mais je ne pense pas que son remplacement par Viktor Orban à titre intérimaire soit une vraie menace.

Nous aurons un sommet européen en février et plusieurs autres réunions pour en discuter avant les élections européennes de juin. Pour ma part, ma priorité est de rester à mon poste de Premier ministre pendant quatre ans, même si tout peut changer en politique.

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Tags: ellefaiblesKajaKallasLOtannhésiteraNouspaspenseRussiesommestester
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